« Pour l’essentiel, ce métier s’exerce avec les gestes que les générations successives ont perpétué. Certaines innovations techniques ont permis une évolution de modes opératoires spécifiques. Une qualité très importante dans notre métier, c’est le toucher : on a besoin de sentir avec les mains. Pour moi, un fauteuil ancien a une âme, qu’il faut respecter, tout en essayant de lui redonner vie. La satisfaction du client, qu’il soit collectionneur ou simple amateur, est la meilleure des récompenses pour le tapissier. »